Cary Y. ~ L'artiste des ombres [En cours]

Nom : Yingzi
Prénom : Cary
Âge : 22
Avatar : Soul Evans de Soul Eater ;')
Magie utilisée : Théâtre des ombres
Guilde : Silver Scythe
Phrase favorite : Que le spectacle commence !

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Ton pseudo, à toi, derrière l'écran ? Pas de pseudo en particulier :')
Comment as-tu connu le forum ? Par un topsite !
Comment trouves-tu le forum ? Au top bien sûr
Un mot pour la fin ? è_é

Cary a vingt-deux ans et est un jeune homme à la silhouette élancée. Il mesure un bon mètre quatre-vingts pour environ soixante-dix kilogrammes. Sa musculature très légèrement dessinée sur son torse imberbe traduit le mode de vie sain et équilibré du mage. Il n’est pourtant pas spécialement sportif et se contente uniquement de la pratique de la magie pour garder la forme. Son travail l’obligeant à ne jamais rester trop longtemps au même endroit, il marche beaucoup et dispose donc de jambes musclées, bien entraînées à fuir une scène de crime ou, plus rarement, les autorités. Pour en finir avec cette vision d’ensemble, la démarche du garçon est plutôt banale, bien qu’un peu plus lente que la normale.

Si l’on s’intéresse de près à son visage, la première chose que l’on est forcé de constater est la couleur de ses yeux. Ceux-ci sont d’un rouge très vif, très pur, qui donne à son regard quelque chose de perçant voir de terrifiant. Ses yeux, justement, sont toujours inclinés vers le bas, donnant l’impression qu’il est toujours fatigué ou ennuyé, ce qui est bien souvent la vérité. La seconde particularité du visage du mage est qu’il possède les dents étrangement pointues, comme si ses trente-deux dents n’étaient en fait que deux rangées composées uniquement de canines prêtent à mordre. Au-dessus de cela se trouve une horrible tignasse blanche comme la neige. Ayant abandonné depuis bien longtemps, Cary n’essaie même plus de les coiffer et se contente de balayer ses épis du mieux qu’il peut sur la gauche. Cependant, quand le résultat est trop catastrophique, il essaie de camoufler les dégâts en utilisant un bandeau qu’il met en haut de son front. En gros, on dirait plus un gamin tombé du lit qu'un homme d'affaires.

Sur son visage enfantin se trouve toujours la même expression, celle d’un homme inexpressif, glacial et surtout complètement blasé. Très peu bavard, les occasions d’entendre sa voix grave et éraillée se font rare. Le jeune homme ne parle pratiquement que quand cela est nécessaire et toujours avec beaucoup de calme et de retenu. Ensuite, le tatouage prouvant son appartenance à la guilde des assassins se situe en haut de sa cuisse droite, de façon à ce qu’il soit toujours caché par ses vêtements. L’une des règles essentielles d’un assassin étant l’anonymat, le faucheur ne peut pas se permettre d’exposer son appartenance à une guilde illégale aux yeux de tous, d'autant plus quand s'agit d'une guilde aussi discrète que Silver Scythe.

Du côté vestimentaire, l’élégance et les costumes de Cary font contraste avec ses cheveux négligés. L’assassin met un point d’honneur à toujours se montrer élégant, qu’il passe sa journée au quartier général des faucheurs ou qu’il soit en mission. Lui qui ne fait attention à rien et qui se moque de tout a pourtant un petit faible pour les costumes ou autres tenues montrant un statut social élevé, qui sont les preuves de sa supériorité sur les autres. Sa magie ne nécessitant pas de grands déplacements, il peut se permettre de porter ce genre de tenue sans être gêné dans ses mouvements. Enfin, il ne porte ni bijou ni accessoire, exception faite du bandeau dans ses cheveux.

Décrivez le comportement de votre personnage en au moins 5 lignes.

La tête plaquée contre la vitre teintée de la limousine, le jeune Cary, qui n'avait pas plus de sept ans, préférait rêver de doudous et de jeux de cours de récréation plutôt que de repenser à ce qu'il venait de se passer dans cette chambre d'hôtel. Son père, le grand parrain de la pègre Ricardo Yingzi, avait souhaité que son fils l'accompagne sur son lieu de travail pour le préparer dès son plus jeune âge à ce qui allait bientôt être son quotidien. Il l'avait amené, accompagné d'une quinzaine d'hommes en lunettes et costumes noirs, dans la chambre d'un certain James Coward. Ce cher monsieur avait emprunté, trois mois auparavant, une importante somme d'argent à la famille Yingzi. Le problème, c'est qu'il n'avait pu rembourser que la moitié de son emprunt, et Ricardo détestait quand on ne lui rendait pas son argent. Quand ils débarquèrent dans la chambre, le premier réflexe du pauvre James fut de partir se cacher. C'était toujours comme cela quand quelqu'un entendait ou voyait un Yingzi. Ils étaient connus et craints dans la partie Est de Bosco, où leur influence s'étendait à peu près dans tous les domaines.

- Montre-toi James, on t'a entendu courir te cacher. Je vais compter jusqu'à trois, et si tu n'es pas apparu devant moi d'ici-là, je te jure que t'as pas intérêt à ce qu'on te trouve.

Bien sûr, cette menace était inutile, car dans tous les cas le pauvre homme allait recevoir une balle entre les deux yeux. Ricardo compta alors très lentement jusqu'à trois, mais James ne bougea pas d'un pouce. Le mafieux s'avança et n'eut aucun mal à trouver l'homme qui s'était simplement caché derrière le rideau de la salle de bain. Le père de Cary était un homme grand et très imposant, les épaules aussi larges qu'une maison et les pectoraux aussi bombés que le derrière de Mirajane. Cet homme, pourtant très jeune, possédait un véritable empire qu'il avait « hérité » de son père après l'avoir fait assassiner. Pour Cary, il représentait quelqu'un de terrifiant et il comptait bien tout faire pour ne pas avoir à reprendre les affaires familiales après lui.



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